Étape 1: Comment ça marche
Auparavant, j’ai fait des muscles artificiels à l’aide d’une imprimante 3D par impression de moules et de silicone de moulage en eux. Voir ici :
C’est une méthode assez complexe et ne produit pas la même précision que l’impression 3d directement.
Il s’agit d’une méthode plus directe où les muscles se sont directement en 3D imprimés à l’aide d’un filament flexible appelé Ninjaflex. Le modèle d’impression d’une imprimante 3D à incandescence laisse beaucoup de trous microscopiques qui ne tiendra pas la pression d’air. Ainsi, après l’impression, les muscles sont recouvertes d’une trempette dans une colle élastomère souple pour sceller les trous. Cela leur permet de tenir la pression d’air de 22 lb/po2 ou supérieur.
J’ai utilisé une Makerbot Replicator 2 pour rendre ces muscles, mais les autres imprimantes de filament qui peuvent imprimer Ninjaflex peuvent être utilisés.
C’est encore au stade de l’expérimentation, mais c’est très prometteur pour la production de muscles qui peuvent remplacer les servos et moteurs à engrenages en robots. Cela va rendre beaucoup moins cher et lorsqu’il est utilisé dans les robots mous, rendre l’environnement plus humain de toucher et d’être autour.
Une imprimante de stéréo-Lithographie utilisant des résines souples, permettrait de produire des types plus petits et plus précis des muscles et la peau de robot qu’une imprimante à incandescence ne peut. Canaux d’air plus complexes et des formes inhabituelles qui ne nécessitent pas de prise en charge pourraient également être imprimés. Un robot de fleur comme cela a pu être imprimé assemblés en un seul morceau.
Étape 1 pic montre la fleur ouverture lorsque tous les six muscles sont pressurisées à 22 lb/po2.