Étape 3: Principe de fonctionnement
La période d’un pendule idéal où toute masse est concentrée en un seul point est exactement une seconde pour une longueur de pendule de 9,78 pouces. Quand la conception en fait une construction de pendule, choses partent de conditions idéales. Le bob est de dimension finie et l’arbre a aussi une masse.
Pour cette raison que le pendule a été conçu où le bob peut être déplacé vers le haut ou vers le bas le long de la manche. Pour approcher le pendule idéal, le bob a été creusé et rempli d’environ une livre de plomb.
S’il n’y a pas de frottement sur l’échappement et le train d’engrenages et le pendule exploités dans le vide, on pourrait s’attendre à une période très stable.
Puisque nous avons des pertes d’énergie, surtout dans l’engrenage, il faut reconstituer la dynamique du pendule par d’autres moyens. Cette conception donne une force mécanique pulsée deux fois par seconde. L’idée est de repousser l’aimant à l’extrémité du pendule, chaque fois que l’aimant vient de passer au poste de pivot.
Supposons que le pendule a été ajusté (sans conduite d’impulsions) se balancer avec une période exacte d’une seconde à l’aide d’un certain angle d’oscillation. Notez que la période est affectée un peu par l’angle d’oscillation,
Maintenant, nous ajoutons les impulsions. L’angle d’oscillation est susceptible de changer qui modifie la période. Alors, la prochaine fois que l’aimant passe de la position centrale, il peut y arriver avant ou après l’heure de « correcte ». L’impulsion suivante est alors appliquée tôt ou tard, encore une fois, produisant un nouvel angle d’oscillation.
Ce système peut jamais atteindre une oscillation stable ? La réponse est oui par soigneusement (et péniblement) en ajustant la longueur du pendule réel ainsi que la longueur de l’impulsion motrice. Fois le balancier et le train d’impulsions sont « bêtes », ce qui signifie qu'il n’y a aucune correspondance entre les deux.
Certains concepteurs ajouté quelques « smarts » à l’électronique conduite en détectant la position ou vitesse du pendule d’oscillation et ensuite ajuster la longueur de l’impulsion (force) en conséquence. J’ai choisi de renoncer à la complexité supplémentaire car il fonctionne très bien dans ce que j’appelle le mode « muet ».