Étape 6: Filtres passe-bas et amplificateur de tension
Afin de nettoyer le bruit un peu et que notre clavier fonctionne mieux, nous voulons ajouter un couple de filtres passe-bas. Ceux-ci filtrent le bruit haute fréquence et permettent le signal de basse fréquence de traverser. Essentiellement de la façon de le faire est simplement d’ajouter un condensateur de 68 pf entre notre analogique d’entrée et de la terre et aussi un condensateur de 0,1 µF (c.-à-d. 104) entre notre PD4 (INT0) interruption et au sol. Si vous jouez avec ceux-ci tout en poussant les touches sur le clavier, vous serez en mesure de voir ce qu’ils font.
Ensuite, nous voulons faire un amplificateur de tension. Il s’avère que la deuxième rangée de touches sur le clavier (comme la touche rappel) mettent trop basse tension pour déclencher l’interruption INT0. La voie analogique est assez sensible pour lire les faibles tensions de ces touches, mais notre broche interruption n’obtient pas un bon assez front montant d’interrompre lorsque nous Appuyez sur ces touches. C’est pourquoi nous voudrions quelque moyen de s’assurer qu’une tension agréable rising edge frappe PD4 mais même les coups basse tension ADC0. Il s’agit d’une jolie commande puisque les deux signaux est en provenance du même fil de sortie de notre clavier. Il y a un certain nombre de moyens sophistiqués pour ce faire, mais nous n’allons pas utiliser notre clavier plus après ce tutoriel kluge so let's just ensemble une méthode qui fonctionne (à peine).
Vous devez tout d’abord brancher un contacteur externe pour remplacer l’interruption INT0 et contrôler l’affichage en appuyant sur une touche sur le clavier en cliquant sur le bouton. Cela a moins de problèmes de clavier et vous permettra d’être sûr que vos tensions sont correctement définies sur la table de correspondance du clavier. Une fois que vous savez que le clavier est branché correctement alors se débarrasser du bouton et remettre l’interruption INT0. Il y a des bruits graves et des problèmes de tension contrôle le clavier de cette façon il est donc bon de savoir que tout fonctionne pour que les problèmes futurs peuvent être isolés à la clé de INT0.
Lorsque vous câbler votre clavier et votre amplificateur de tension, il est très probable que les mêmes valeurs de résistance que j’ai utilisé ne vont pas au travail. Donc, vous devrez faire quelques essais pour obtenir les valeurs qui fonctionnent pour vous.
Si vous regardez le schéma que je joins à cette étape, vous verrez comment va fonctionner l’amplificateur de tension. Nous utilisons certaines résistances et deux transistors. Les transistors de façon travaille (voir les fiches techniques!) il y a une tension minimale dont vous avez besoin pour entrer sur la broche de base sur le transister (la fiche centrale) qui va saturer et permettre actuel s’écouler entre l’axe du collecteur et l’émetteur de la broche. Dans le cas du transistor 2N3904 que nous utilisons ici la tension est 0.65V. Maintenant nous prenons que la tension de notre sortie à partir du clavier, et nous ne voulons pas changer cette sortie donc nous mettrons une grosse résistance entre la sortie du clavier et de la base du premier transistor (j’ai utilisé 1Mohm). J’ai cela étiqueté comme R_1 dans le diagramme. Ensuite, nous souhaitons mettre en place un diviseur de tension pour que la base du transistor est « presque » à 0,65 volts déjà et c’est seulement une teeny weeny bit sera plus pousser sur le dessus et saturer. Ce teeny weeny bit proviendra de la sortie du clavier lorsque nous appuyer sur un bouton. Étant donné que les touches du clavier inférieurs mettent seulement une petite tension, nous avons besoin d’être très proche de saturation déjà dans l’ordre pour qu’elles soient assez. Les diviseur de tension résistants sont étiquetés R_a et R_b sur le diagramme. J’ai utilisé R_a = 1Mohm et R_b = 560Kohm, mais il est presque certain que vous aurez à jouer avec ces numéros pour l’obtenir droite pour votre configuration. Vous pouvez avoir un mur à proximité pour frapper votre tête contre et deux ou trois verres de scotch sur main (je recommande Laphroaig--cher, mais vaut la peine si vous aimez fument. Si les choses deviennent vraiment fous, puis un pot de BV et s’installer dans la nuit)
Laisse maintenant regarder comment les transistors vont nous faire un beau front montant va la clé de INT0 et générer notre interruption keypress. Tout d’abord regardons ce qui se passe quand je ne suis pas en appuyant sur une touche. Dans ce cas le premier transistor (étiqueté T1 dans le diagramme) est désactivé. Si aucun courant ne circule entre les goupilles de collecteur et l’émetteur. Ainsi, la base de l’autre transistor (étiqueté T2) sera tirée haute et donc il va saturer permettant courant de circuler entre les broches. Cela signifie que l’émetteur de T2 sera tiré faible puisqu’il est relié au collecteur qui lui-même est relié à la terre. Ainsi, la sortie qui va sur notre broche d’interruption INT0 keypress (PD4) sera faible et il n’y aura aucune interruption.
Maintenant ce qui se passe quand j’appuie sur une touche ? Eh bien la base de T1 dépasse de 0.65V (dans le cas des touches inférieures qu'il va seulement à peine plus haut!) et puis courant est autorisé à flux qui va tirer la base de T2 à basse tension et cela coupera T2. Mais nous voyons que lorsque T2 est désactivée, alors la sortie est tirée haute et donc nous allons obtenir un signal de 5V allant vers notre broche INT0 et il provoquera une interruption.
Notez que le résultat net est ici. Si nous poussons la 1 touche, nous obtenons 5V va PD4 sans modifier sensiblement la sortie va ADC0, et surtout, même si nous poussons Asterisk, 0, hacher ou de rappel, nous avons aussi obtenir un signal de 5V va INT0 et aussi causer une interruption ! Ceci est important car si nous venons de voir directement à partir de la sortie du clavier sur la broche de INT0, ces touches ne produisent presque aucun tension et ils ne seront pas suffisant pour déclencher cette broche d’interruption. Notre amplificateur de tension a résolu ce problème.