Étape 2: Vue d’ensemble de la construction
Les mâchoires sont fabriqués à partir de courtes longueurs de tubes en acier, que j’ai coupé d’un rotatif de vieux linge, qui avait perdu sa ligne. Ils sont montés dans des blocs de bois, coupés des parties épaisses d’une vieille palette que j’ai trouvé. L’avantage de cette méthode est que les mâchoires peuvent être ajustés avec précision avant de les fixer dans leur position finale, peuvent être faits assez minces et sont isolés les uns des autres.
Les deux blocs de bois sont reliées par une charnière. J’ai choisi une charnière de 10cm (4 po) pour la stabilité. Cela donne un bon espacement entre les extrémités des mâchoires.
Les électrodes de soudage sont fabriqués en un morceau de tige en laiton que j’ai pris depuis le robinet à boisseau sphérique d’une ancienne citerne. J’ai fait des connecteurs pour eux à l’aide de découpé et martelés bits plats d’un tube en cuivre, rondelles et écrous M8. Ils sont fixés dans les extrémités des mâchoires à l’aide de chevilles croisées de vieux meubles auto-assemblage et coupure de longueurs des boulons qui accompagne ces. Laiton n’est pas un très bon choix de matériel, puisqu’il n’est pas conduite ainsi que du cuivre et a un bas point de fusion, mais c’est tout ce que j’ai pu trouver. Barre de cuivre fourrée tungstène ou elkonite serait bien supérieure.
Le soudeur est actionné par une pédale que j’ai faite à l’aide de l’un des micro-switchs du four, quelques morceaux de ferraille, bois, un des boulons longs de vieux meubles d’auto-assemblage, et un ressort retirés à un distributeur de savon liquide.