Étape 5: La timonerie de direction
J’ai fait quelques recherches en ligne et finalement trouvé le lien simple suivant : deux entretoises en plastique longs, minces, parallèles, avant celui fixé et celui dos libre pour glisser à gauche et à droite. Chaque roue se trouve à l’extrémité de ces jambes de force, sur une collerette (découpées dans la tôle) qui est vissée sur le dessous des extrémités d’une paire de jambe. Quand le dos se pavanent diapositives à gauche, elle débute sur la face arrière de la roue gauche et tire simultanément dans la partie arrière de la roue droite ; et vice versa en faisant glisser l’autre sens.
Quand j’ai essayé, cependant, j’ai réalisé par la suite que j’ai simplement eu à écarter la conception originale du chariot. Les roues sont assez larges, et pivotant eux même le moindre bit causé les roues se frotter contre l’intérieur des puits de roues. Aussi laid que c’était, j’ai donc décidé que je devais sortir les roues provenant des puits de roue complètement afin des faire pivoter suffisamment. Je l’ai fait à l’aide de contrefiches plus longtemps. J’ai détesté ce qui en fait grand d’un changement à l’aspect original du chariot, mais je n’avais pas le choix.
Après que j’avais coupé et assemblé tout cela, j’ai découvert sur la Géométrie de direction Ackerman, qui utilise en L reconstitué afin de tourner les roues, mettre efficacement chaque roue avant à un rayon de braquage légèrement différent alors que pivoter. Il aurait été une conception supérieure, mais je ne voulais vraiment pas reconstruire le front steering linkage. En outre, mon panier vraiment jamais ne va pas assez vite pour qu’à la matière. Si je devais faire plus, cependant, je voudrais essayer de mettre en œuvre la conception Ackerman.
Maintenant, le problème était de connecter le servo à la timonerie de direction.