Étape 4: Capteurs de pression fait maison
1. marquer les plaques unilatérales de la PCB cuivre en carrés 1". Marquant les plaques des deux côtés avec un cutter permet d’éviter la flexion dans le matériau en couches du circuit imprimé, lors de la coupure apart. Une fois inscrit, snap part les morceaux à la main ou, pour les plus difficiles, une paire de pinces.
2. découper la mousse conductrice en contrepartie 1" carrés à l’aide d’une lame de rasoir ou de ciseaux. Nous avons choisi une mousse à haute densité, parce qu’il semblait avoir une réponse plus linéaire de la pression appliquée. Cependant le temps de récupération est beaucoup plus long que celle de la mousse de faible densité.
3. souder le fil composite sur le côté cuivre de chaque carré de 1" PCB. Nous avons trouvé qu’en utilisant le câble composite est plus facile à souder à la surface du cuivre lisse que le fil solide.
4. coller les pièces ensemble. Enduire de colle tacky deux bords opposés de la plaque de PCB et lier à la mousse. Ne pas enduire de colle la surface entière ou la liaison conductrice sera cassée. Répéter l’opération avec l’autre côté de la mousse et un autre carré de PCB.
Remarque : contrairement à la « bricolage résistance sensible Force » instructable, nous avons construit nos capteurs afin que les fils conducteurs sont sortis des côtés opposés du capteur. Cela a aidé avec la portée fonctionnelle du capteur en séparant les deux souder bombements, donc ils ne touchent pas entre eux quand la mousse est comprimée.
5. Fixez la plate-forme carrée de 1.8" totale, à l’aide de ruban adhésif double-face. Cela fournit une plus grande surface d’application du poids.
Après la construction de nos capteurs, nous avons effectué plusieurs tests de sa conductivité sous compression (voir la section programmation pour plus de détails). Une chose à ce stade, nous avons observé était qu’il fallait « exercer » le capteur. Les premières fois que le capteur a été compressé, la mousse a fourni une grande quantité de résistance physique. Une fois que la mousse était cassé, il était beaucoup plus facile à compresser et a fait des mesures plus homogènes. Deuxièmement, même si le capteur était cassé-dans, parfois nous obtiendrions des lectures qui ont été totalement incompatibles avec la pression étant appliquée. La résistance monterait quand il était censé pour descendre ou il dise 1/2 sa résistance originale dans un essai et 1/6 dans le deuxième procès en vertu de la même quantité de compression.
Pour contourner ce problème, nous avons tenté de les compter par incréments de force appliquée. Étant donné que nous utilisions des blocs de l’alphabet pour tester nos capteurs que nous avons essayé l’approche de la détection de changements dans la résistance des capteurs, ce qui nous permet de compter le nombre de blocs placés sur le capteur. Cette approche semblait prometteuse, mais temps ne permettait pas à l’exploration complète de cette option et nous sommes passés à un capteur de pression conventionnel.