Theodore L. Syvertson, de Pasadena, un entrepreneur en bâtiment retraité de 69 ans, avait s’est trompée, presque sans interruption, une fois toutes les dix secondes, depuis novembre 1946. Il a perdu dix kilos, a passé neuf mois dans les hôpitaux, a tenu des consultations avec 60 médecins, qui lui a fait aucun bien. La semaine dernière il a essayé de pencher de l’autre côté d’un verre à la taille tandis que l’eau potable. Au milieu le second verre, son hoquet s’est arrêté.
Pauline Lucas, 31 ans, de Waynesburg, en Pennsylvanie, a été hoqueter la semaine dernière 10 à 25 fois par minute, comme elle le fait depuis le 23 février dernier. Elle n’a pas essayé méthode de Syvertson. Suggestions reçues en 8 000 lettres ont inclus ces recours standards comme la respiration en & d’un sac de papier et de manger des glaces. Les médecins de Greene County Memorial Hospital ont essayé de sédatifs, anesthésie, benzoate de benzyle (un médicament relaxant), sulfate de quinidine (un médicament comme la quinine utilisé pour réguler un rythme cardiaque anormal), le nitrite d’amyle (un médicament utilisé pour traiter l’angine de poitrine).
Les médecins envisagent également le nouveau médicament myanesin (temps, 12 juillet) et peuvent suggérer un des nerfs phréniques du patient (temps, 27 janvier 1947) d’arrêter les spasmes du diaphragme qui provoquent le hoquet écrasant. Mlle Lucas, dont le poids est passé de 129 Ibs. 85, est prêt à essayer n’importe quoi.
Juniata McMichen, 19 ans, de Atlanta, essayé une variante de la technique de l’effarouchement. Elle a pris un tour d’une heure dans un avion de retard de croissance, y compris une plongée de 10 000 pieds. C’était son premier voyage en avion et elle était « presque peur de la mort ». Mais il n’a pas bon ; elle est montée à hoqueter six par minute. Médecins lui guérir enfin en écrasant un nerf phrénique.