Étape 2: détecteur
J’avais entendu parler de détecteurs à semi-conducteurs fondés sur le principe qu’une photodiode biaisée inverse peut détecter des particules incidents. J’ai décidé de l’essayer, s’attendant à travailler à tout le moins avec les quelques rayons gamma de 60KeV produit de la source.
J’étais dans une surprise : je ne pouvais pas obtenir quoi que ce soit au travail. En théorie, les particules incidents frapperait la couche de l’appauvrissement du semi-conducteur augmenté la polarisation inverse, transférer suffisamment d’énergie pour le trellis de silicium de frapper certains électrons hors de la coquille de couches électroniques périphériques et dans un nouveau shell (appelée la bande de conduction). Le dispositif permettrait à un petit courant de passer à travers pour un temps très court. J’ai réussi à obtenir un tas de rien hors de lui, même après la connexion du signal (ou son absence) à un amplificateur MOSFET de 3 étages.
Dans la frustration, j’ai débranché l’alimentation. Il daigna ensuite pour produire un signal...
Ce que je pense que j’observais est une variation sur l’effet photoélectrique. Tous les photodiodes PIN agissent comme de petits panneaux solaires lorsqu’il est exposé à la lumière naturelle. Lumière naturelle a très peu d’énergie par photon par rapport à nos particules alpha... qui, dans notre cas, sont environ de 5 MeV. J’avais enlevé par hasard la vitre sur la photodiode pour faciliter la capture des particules, et le système a été scellé contre la lumière... ce qu’il paraît cohérent. Une photodiode identique sans la source produit seulement un signal de brouillage de 60Hz.
La photodiode avec la source jointe, il y avait ce qui semblait être une variation aléatoire dans l’interférence de 60Hz. Par ailleurs, j’ai estimé la fréquence de ces variations à 15 000-50 000 coups par minute, cohérente avec la force de ma source.
Enfin, sur une observation minutieuse répétée, certains des pics de tension sur les dénombrements étaient rarement à peu près doubles de taille... qui est compatible avec des données aléatoires, par opposition aux signaux aléatoire.
J’ai hésité à tirer des conclusions décisives, mais j’ai peux être détecter les particules alpha, essentiellement à l’aide d’un panneau solaire glorifié. Autant que je sache, cette technique est sans papiers. Si elle ne représente pas une nouvelle technique, j’ai libéré explicitement cette technique de détection sous licence GPL.
La première photo est d’un seul « événement » mesurée à 200 microsecondes par centimètre. La deuxième photo est sur une échelle de temps beaucoup plus longue... 1ms/cm si je me souviens bien. Il n’y a malheureusement très peu de bruit, mais on voit encore qu'il y a des écarts très stochastiques dans le bruit. Un des événements est tout à fait un peu plus grand que les autres et peut indiquer la coïncidence des deux événements. Il a fallu quelques efforts pour trouver une telle chose, sur des périodes plus longues, les événements sont difficiles à voir. Les épis géants sont des artefacts de mon vieillissement oscilloscope mais indispensable.
Je voudrais réaffirmer que ces résultats sont très préliminaires. Il reste que je dirige l’expérience avec un blindage mieux pour éliminer le bruit. Puis, j’ai devez amplifier le signal, automatiser la collecte de données avec un microcontrôleur... et enfin tester la probabilité du vrai hasard... ou déterminer la densité d’information si vous préférez des termes.
J’ai une idée ou deux sur les utilisations pratiques de ce dispositif, si je peux confirmer cet effet.