Étape 1: Modification du piège et installation de matériel
Les différentes parties de la souricière ont servi à créer deux commutateurs permettant la libération et à se faire représenter à la portée des événements de clôture. Pour effectuer les branchements électriques entre les diverses parties du piège, j’ai soudé les fils vers le U en forme de pointes qui servent à les attacher à la base en bois. Une pile de 9 volts a été utilisée comme une source de tension pour produire un signal qui représente l’état des interrupteurs.
L’événement déclencheur de la portée (la libération du piège) est généré en utilisant l’appât titulaire et crochet comme les contacts d’un commutateur. C’est effectivement un unipolaire, interrupteur va-et-vient unique normalement fermé. C’est dans l’état fermé lorsque le piège est défini, permettant à la borne positive de la batterie pour se connecter à la titulaire de l’appât. Lorsque le piège est relâché, la batterie sera n’est plus reliée à la titulaire de l’appât et donc la tension à ce sujet sera ramené à zéro. La portée a été définie pour déclencher la tension baisse vu sur le porte-appâts.
Le deuxième interrupteur génère le signal représentant la fermeture de la trappe. Ce commutateur est unique à la perche, le seul commutateur normalement ouvert. C’est dans l’état ouvert avant la barre ayant une incidence sur l’avant de la trappe. Ce commutateur utilise la barre ressort comme un contact. Le deuxième contact est une bande de ruban d’aluminium sur le bord avant du piège. La tension de la batterie est appliquée à la barre, et le contact de ruban métallique est raccordé à la deuxième chaîne de la portée. Lorsque le piège est défini, la tension sur le contact avant de ruban métallique sera zéro. Lorsque la barre d’impact sur le contact avant, la tension sur elle passera à la tension de la batterie. En examinant la synchronisation entre la chute de tension sur les appâts titulaire et l’élévation de la tension sur le contact avant, le temps de libération à la fermeture du piège peut être déterminé.
Le diagramme montre comment les différentes parties du piège servent à fabriquer les deux interrupteurs, et comment les États commutateur changent par rapport au réglage du piège à sa fermeture définitive. Le schéma montre également comment se relient les deux interrupteurs, la batterie et l’oscilloscope. Les nœuds numérotées dans le schéma correspondent aux parties du piège numérotées dans l’image du piège du réel. Nœud 1 est le crochet, nœud 2 est le bar, le noeud 3 est le titulaire de l’appât et nœud 4 est le contact de bandes métalliques ajouté à l’avant de la trappe.