Etape 2: La conception
Hommage... Reconnaissance, où elle est due !
La Williamson.
Cet amplificateur est influencé par deux unités historiques. Tout d’abord, le Williamson : conçu à la fin des années 30, l’implication historique est que "la Willie" même si une invention britannique, est le premier ampli Hi Fi de vrai bien connu. Plans et schémas ont été publiés, alors qu’il était absolument la première « DIY Hi Fi » ! BRICOLAGE, c’est quoi Instructables traitent tous ! N’hésitez pas à lire sur le Willie ici : www.sowter.co.uk/pdf/Williamson%20Amplifier.pdf . C’est la publication originale décrivant la Willie. La plupart tous les amplificateurs de tube moderne d’une manière ou d’une autre ont été touchés par la Williamson. Il y a beaucoup de controverse sur comment bien Willies étaient... Encore une fois « experts vantant l’ambiguïté ». Je suis certain qu’en son temps, les gens ont été terrassés et sidérés. Simplement un doit avoir pour un top dix ampères plus importants de tous les temps. L’influence à que je me réfère est que le Willie utilise une triode double tout comme une étape de pilote après que la phase de séparation. Certains prétendent que c’est excessive et inutile, mais il en fait un appareil très robuste dénuée de toute chance d’écrêtage dans le stade en voiture. En outre, il permet d’élargir l’étage de sortie et de conduire plusieurs paires de « tubes de puissance » si nécessaire. Cela permettra de piratage de la place pour quelqu'un voulant haut de gamme et de construire un monstre.
Le Dynaco Mark II et III,
Dans les années 50 et 60, Dynaco offerts en kits et unités assemblées/testé. Ils se sont crus que Willie a inspiré, mais plus tard « Dyno » a conduit les sorties directement hors de l’onduleur. L’avance de gros était le transformateur de sortie de Acrosound avec des enroulements intégrées agissant comme des pièges de la grille. Cela a grandement amélioré la linéarité de l’ampli sur une plus grande bande passante. Il a également amélioré la capacité de faire face aux changements soudains de transitoires en entrée. Aussi la plupart de Dynacos que j’ai vu, ont un biais d’ajustement pour chaque tube de sortie. Certains ont un pot de balance de canal afin d’assurer la même amplitude du signal provenant de chaque côté du séparateur phase afin que les deux tubes de sortie sont entraînés régulièrement. Vous pouvez en savoir plus sur Dynaco ici : http://en.wikipedia.org/wiki/Dynaco .
Notre propre Sauce spéciale...
Étant l’individu fou que je suis, j’aime mettre mes propres torsion controversée sur tout. Voici donc la liste restreinte :
1: une meilleure alimentation ; Casquettes de Bigger, badder, filtre. Aucun redresseur de tube, aucun relâchement des tensions (diodes fonctionnent très bien et ne changent pas la dynamique d’un ampli mais seulement à rendre beaucoup plus efficace). Résistance distinct et bouchon de filtre pour chaque étape, c’est juste la bonne chose à faire.
2: séparer l’alimentation de tension de polarisation ; (maintient la "chose" de s’enfuir, même quand elle est coudée tout le chemin vers le haut) permet un récipient à part et test point pour chaque tube pour vérifier le bon courant ralenti par tube. Le meilleur de tous, ne prive pas de tension différentielle totale sur plaque de sol, produisant plus de puissance pour haut-parleurs et meilleure linéarité au-dessus de tous. (1 paire 6L6GC 54 mA plaque * 2) = (108mA * 470Volts) = (50,76 Watts théorique * transformateur de sortie efficace de 98 %) = 49,7448 WATTS théoriques à haut-parleur ! Ramasser 1 Watt hors de chaque piège de grille et boum ! 51 et demi Watts. Sur une paire de lampes 6L6GC, qui aurait thunk il???
3: une boucle de rétroaction modifiés pour tenir compte de certaines pertes avec perte ; Tube ampères sont généralement couplés par les résistances et les condensateurs. Eh bien, résistances de résistent par nature et c’est une bonne chose de prévisible, en revanche, condensateurs sont censés arrêt DC électricité froid et pass seulement AC et ils les font un peu. Quelque part dans mon passé lointain, il y avait un professeur d’électronique et oncle Elmer dans la cabane juste un me disant « X de C ». « Mon garçon, tu dois compter pour X de C ». En mémoire de Eric Erickson (oncle E à chacun d'entre nous novices) et James F. Cornell, c’est ici :
XC = 1/(2*pi*f*c). XC est la résistance en Ohms, f étant la fréquence en Hz et c est la capacité si Farads. Alors maintenant, moi étant le grand approximater autiste problème avec maintenant de nombreuses années d’expérience, j’ai à peu près devinera à 5 % que ces chapeaux de couplage mFd.47 parlent comme une résistance de 5K Ohms à 60 Hz et 2,5 K Ohm à 120Hz, attendez qu’il... 1,125 K Ohms à 220 Hz. au-dessus de 6K Hz, plus comme une courte morte... Habituellement environ 4 ou 5 RC (capacitance résistif) couplages dans un ampli à lampes... Eh oui, qui l’explique : une perte constante de 9 dB de basse à 60 Hz. Eh bien, nous avons utilisé un tube 6SN7 (@ 20 dB de gain) en remplacement d’une lampe 12AX7 (gain de 10 dB), suppose que nous pouvons réduire de moitié la première hausse de stade et mettre un bouchon.047 uF en ligne pour atténuer... attendez... 8,3 dB de la rétroaction de base. Et une casquette de 47 pF minuscule à court pour fonder la rétroaction à travers une résistance de MOhm 1 afin que les aigus surmonte le GAL résistif du remplissage des écrans à travers une résistance (également une fonction d’un plafond à travers une résistance de charge), BAM ! La chose a une belle réponse plate, totalement linéaire de 40Hz à bien au-delà de ce que je peux entendre ces jours-ci. Le champ d’application dit tout le chemin à 18K Hz, tous à moins de 1,3 dB totalement incompréhensible à moins que tu es béni avec des oreilles dorées qui défient les limites de la perception humaine.