Étape 2: mécanique
La pièce principale est un morceau d’aluminium. Il est rainuré pour rouler sur deux rails en laiton à l’intérieur du récepteur, et il est repercé pour un tube de laiton qui coulisse librement le long de la tige de la mémoire tampon. le garder alignés, mais permettant à la culasse ouvrir. Deux boulons bâton par dans une seule direction pour capturer les barils et une garde de ressort et la tige elle alignée par rapport au reste du bloc de culasse lorsque l’ensemble est poussé en arrière sur le ressort de la mémoire tampon.
Le point de toute cette complexité est donc le printemps de tampon fonctionne... tout de baril sur retour peut être repoussé... mais une pression vers l’arrière sur la longuesse en bois (tirée d’un fusil de chasse Winchester modèle 93) repousse la partie du visage de l’Assemblée de la culasse dans le bloc de culasse et permet des barils à faire pivoter pour rechargement.
L’autre partie de la complexité, c’est que les parties n’étaient pas alignés pour l’efficacité mécanique. La force de la longuesse a dû faire un coude en z, passer à travers la tige de la mémoire tampon et faufiler dans le dernier écart restant entre les cylindres pour obtenir à l’Assemblée de la culasse. A la conception originale plus « en ligne » les détails mécaniques auraient été plus simples !