Étape 4: Assembler les commutateurs
Maintenant nous avons le cadre et le panneau, il faut planifier les connexions.
Attaché, il est un fichier Excel ("Connessioni Lights.xlsx") avec la liste de commutateur de tous les noms (dans l’ordre de gauche à droite), le type de commutateur (ON-ON, ON-OFF-ON et rotatif), la couleur/numéro de fil (vous aurez besoin de modifier cette colonne en fonction de votre fils). Juste pour l’instant, ignorez les colonnes à droite car ils sont les codes FSX, vous en aurez besoin plus tard.
J’ai décidé de mettre toutes les entrées numériques de l’Arduino avec pullup interne pour éviter d’utiliser des résistances externes : cela signifie que nous lirons haut (+ 5V) si le code pin n’est pas connecté et basse (0V ou GND) quand nous déclencher interrupteur, ce qui porte la broche à la masse. Tous les interrupteurs ON-ON (ou ON-OFF) sont reliés à la pour terre d’un côté, et la centrale va directement à la broche numérique Arduino. De cette façon quand l’interrupteur est en position, que nous lirons une valeur haute (ou « 1 »), tandis que dans la position « ON » elle sera connectée à la terre et puis nous lirons faible (ou « 0 ») « OFF ».
Pour réduire le nombre de broches d’entrée nécessaires, car chaque ON-OFF-ON bascule et les deux roues codeuses, j’ai utilisé une entrée analogique grâce à des diviseurs résistifs qui donnera les valeurs de tension différente selon la position de l’interrupteur (voir figures). De cette façon, nous avons seulement besoin 7 broches analogiques, au lieu de 18 ! Et Arduino Nano peut s’adapter au projet mieux que UNO, grâce à ses 8 entrées analogiques, deux de plus que UNO.
Le panneau est intérieurement divisé en trois sections délimitées par les deux montants, donc meilleur fil passe en trois groupes distincts. Chaque fil est ensuite soudée à une épingle de l’un des deux en-têtes, correspondant aux broches de l’Arduino, voir le schéma dans la feuille de calcul Excel.