Étape 4: remplacer l’article un
CORPS
La définition d’un corps en termes de métaphysique est une entreprise déroutante. Il est susceptible d’évoquer l’idée d’une sorte de matière physique inerte soumise aux caprices de la volition et en nature aux lois physiques. Ce point de vue est particulièrement répandu dans la philosophie lorsqu’on a affaire à des penseurs du siècle des lumières - plus célèbre, Emmanuel Kant. John Locke, par exemple, définit des corps simplement comme "... quelque chose qui est solide et étendue, dont les parties sont séparables et mobiles de différentes façons." (Nidditch, 1975)
Cependant, la question devient plus complexe que cela. Ceci est illustré par la même le plus rapide coup de œil sur le mouvement philosophique de l’incarnation. Mode de réalisation conformément au présent article, ne mentionne pas le mot comme l’école de la philosophie analytique en général, c'est-à-dire, pour régler les problèmes de Philosophie de l’esprit et l’intelligence artificielle. Au contraire, incarnation fait un autre usage du mot qui peut être trouvé au sein de l’école de la phénoménologieet la catégorie de la philosophie continentale plus généralement. Cet usage est née et a été traité par des philosophes comme Edmund Husserl , ou encore plus tôt, par Hegel, et il semble suggérer que ce corps lui-même est précisément ce qui fait la connaissance de soi qua corps, par la conscience de soi.
Le Oxford English Dictionary définit littéralement le préfixe «méta -» comme "' avec le sens ' au-delà, ci-dessus, à un niveau supérieur,'" et le mot 'physique ' comme « d’ou ayant trait à la nature matérielle, ou à l’univers phénoménal, perçu par les sens ; correspondantes d’ou lié à l’affaire ; matériel ; opposée à psychique, mentale et spirituelle." La conception traditionnelle de lumières du corps est précisément simplement physique plutôt que métaphysique. Compte tenu de la connotation douteuse de la « physique » comme quelque chose s’opposent à la mentale, il est important de garder à l’esprit que les penseurs du siècle des lumières, comme Locke, peut tout à fait nous donne pas une définition métaphysique qui obtient à la complexité impliquée dans le sens de ce terme.
Cette tendance de pensée reflète une tendance des penseurs de l’incarnation à suggérer un effondrement du Dualisme cartésien dans, plutôt que le problème corps-esprit traditionnel, le problème corps-corps. En phénoménologie, le problème cartésien évolue vers une notion d’abord défendue par Edmund Husserl de phénoménologique Épochè. Nous devons théoriquement remettre de cela si nous voulons agir dans le monde. Les théoriciens d’incarnation notables tels que Maurice Merleau-Ponty discutent de l’étendue à laquelle le problème corps-esprit de Husserl cartésien ou même est usurpé par la primauté du corps dans sa corporéité.