Étape 2: théorie
Impulsion : Donner main-forte numérique à petit budget et compter les cinéastes
L’avènement des appareils d’enregistrement vidéo numérique a ouvert les portes à beaucoup de réalisateurs à petite échelle en réduisant considérablement les coûts associés à la capture et la manipulation des images en mouvement. Malheureusement Toutefois, les pratiques de production ardue développés en réalisation de films analogique qui sont nécessaires pour organiser et d’éditer un film finalisé restent en grande partie intacts. Ainsi, même si les petits films indépendants et les productions grand studio peuvent être prises maintenant, reconstitué-ensemble et partagé entièrement numérique, le studio est encore capable de créer du contenu cinématographique plus efficacement en raison de sa capacité à organiser des échelles beaucoup plus massives de contenus collectés. Considérant que, par une petite équipe documentaire peut prendre des années pour planifier, shoot et monter un film de 120 minutes, la main d’oeuvre pure d’un grand studio peut produire une quantité semblable de contenu en quelques semaines.
Les tâches de canaliser des quantités massives de séquences non organisés et continuellement vacillant entre capturer des images et de re-structuration du projet faire des documentaires un des médias plus frustrantes dans lequel travailler. Le documentariste doit non seulement organiser le déluge d’informations, mais aussi de sculpter une structure béton engageante de ses pièces souvent changeantes. Les qualités uniques qui découlent de sa production rigoureuse et dynamique processus, mais aussi contribuent à établir le documentaire d’autres types de film.
Traditionnellement, ils en traitant les problèmes d’organisation et la structuration des films cinématographiques, les grands studios devait distribuer des processus filmique en tâches plus simples parmi des dizaines ou des centaines de personnes.
Malheureusement, les groupuscules documentaires n’ont pas la main d’oeuvre pour atteindre ces niveaux d’efficacité. L’automatisation numérique et/ou parallélisation de certaines de ces tâches plus simples du processus de production du studio, pourrait, toutefois, remplacer certaines de ces lacunes dans la main-d'œuvre. De cette façon, les petites productions documentaires peuvent commencer à profiter de certains de l’efficacité de cinéma offerte pour les grands cinéastes, tout en conservant le contrôle de la qualité artisanal d’une petite équipe.
Ce projet, Documatic, cherche à développer un système qui associe le processus de prise de vue/collecte d’informations de montage/structural-synthèse pour permettre la production semi automatisée de béton histoires vidéo suite documentaires modèles établis. Le produit final sera plus ou moins indiscernable d’un film documentaire traditionnel, linéaire, mais le nouveau processus conduisant à sa création sera je l’espère plus simple, plus efficace, éducatif et amusant.
Le modèle cinématique
Pour concevoir un modèle procédural pour le cinéma, je me suis tourné pour les théoriciens du cinéma établie. Dans leur livre, l’Art cinématographique, Bordwell et Thompson identifient deux types principaux de film documentaire, rhétorique et forme catégorique (D. Bordwell, 2004, p. 132). Forme rhétorique pure s’efforce précisément de « persuader l’auditoire d’adopter un avis » (Bordwell et Thompson, 2004, p. 140). Le sujet peut être démontrable par des faits scientifiques, tels qu’un film décrivant le processus de la mitose, mais l’empirisme n’est pas nécessaire, par exemple pourquoi on devrait voter pour un certain candidat. L’et s’appuie sur les appels émotionnels, sujet et visionneuse centrée arguments et de sources apparemment fiables (Bordwell et Thompson, 2004, p. 142). Parce que l’objectif premier de ce type de documentaire est tout simplement à prouver ou à illustrer une façon spécifique de la pensée, la structure cinématique d’un film de rhétorique est soumise à sa forme argumentative. Puisqu’un argument peut être structuré de différentes manières, la structure cinématographique a tendance à être du singulier d’un film spécifique. Par exemple, la manière dont des diagrammes, des interviews, narration et autres images illustratives sont disposées pour un film scientifique, ne peut-être aucun rapport avec la manière dont ces éléments sont disposés pour un autre film politique.
Films documentaires catégoriques, en revanche, présenter des arguments moins explicites et plutôt se concentrent sur simplement transmettre diverses informations de manière organisée sur un sujet en particulier. Ce format suit le sujet sans se soucier de motif très simple et cohérente. Tout d’abord, le sujet est introduit, et puis le spectateur est présenté avec une série d’entrevues ou de récits regroupés par rubriques associées à l’objet global. Bordwell et de Thompson archétype catégorique documentaire, Gap-Toothed femmes, présente cette structure de base :
Titre/thème - femmes édentés
1. introduction de l’écart de quelques dents de femmes
2. génétique et culturel explications des écarts
3. American stigmate
4. carrières et créativité
5. epilogue
6. crédits
(Bordwell et Thompson, 2004)
Ainsi le film « catégorique » Bordwell et de Thompson peut être décrit par la règle suivante::
1) UN DOCUMENTAIRE CATÉGORIQUE SE COMPOSE D’UNE SÉRIE DE SUJETS SUR UN SUJET PARTICULIER
L’ordre dans lequel ces sections sont disposées, crée la narration globale vécue par le spectateur. En outre, l’organisation temporelle de ces sections peut être basée sur des facteurs externes, tels que l’ordre que certains événements se sont produits dans la vie réelle. Par conséquent, même des films comme Super Size de Morgan Spurlock Me, peut ajuster le modèle de film catégorique puisqu’il résulte d’une série d’articles détaillant les parties de l’industrie de la restauration rapide, tandis que l’arrangement de ces sections décrit le récit global concernant la transformation du corps de la cinéaste.
Bien que Bordwell et Thompson avertissent que "parce que la forme catégorique tend à se développer de manière assez simple, il risques ennuyeux le spectateur", ils remarquent également sur une force de la forme en ce que, « la forme catégorique peut maintenir l’intérêt en mélangeant à d’autres types de forme... [même] rhétorique forme » (D. Bordwell, 2004, p. 134). C’est donc cette configuration cinématique simple, mais potentiellement puissante sur lequel s’appuieront les Documatic.
DES RÈGLES PLUS PROFONDS : ENTREVUE, PIÈCE, NARRATION
En utilisant ce modèle catégorique d’organiser simplement des images en groupes selon est un bon début pour l’organisation de la séquence. On pourrait imaginer l’utilisation si, après le tournage de plusieurs interviews, toutes les séquences dans lequel les personnes interrogées ont parlent « Stigmatisation américaine » ont été automatiquement rassemblées dans un bac et toutes les séquences sur les « Carrières et créativité ». Automatisation de ce processus seul, serait déjà lever la charge de garder la trace des nombreux cas spécifiques de temps dispersés à travers des heures d’images.
Pour fournir un sursis additionnel pour le cinéaste, j’ai aussi construit une question complémentaire ensemble de règles serait utile pour aider dans le montage en fait les images une fois qu’il a été organisé. Cet ensemble de règles secondaire se décompose une section individuelle du documentaire catégorique en trois éléments fondamentaux footage : entretien, pièce et la Narration.
Entrevue avec
Entrevue avec sert de la majeure partie du contenu pour des films documentaires plus catégoriques. Il consiste simplement à de la vidéo depuis une caméra pointée à une personne (généralement un gros coup de tête), qui est décrit ou répondre à des questions au sujet de quelque chose. Une seule entrevue enregistrée avec une personne est coupée dehors en petits clips de l’entrevue, et ces clips des différentes personnes interrogées sont regroupés selon ce qui a été dit dans chaque clip. Ces regroupements par thèmes forment les différentes sections du documentaire globale catégorique.
Images de l’exposition
Afin de réaliser un documentaire plus attrayant, il peut être utile de montrer au public ce que la personne interrogée est parler [insert citation de "Conte documentaire" (Bernard, conte de documentaire pour le cinéma et vidéastes, 2004)]. Il s’agit d’une caractéristique commune à presque n’importe quelle vidéo de l’interview. Par exemple, tandis qu’un interviewé chez les femmes Gap-Toothed assure une anecdote sur le modèle de bit « Édenté » caractéristique qu’elle partirait en nourriture, une image vidéo de ce modèle exact de morsure est montrée directement au spectateur. Alors que la vidéo de l’interview est momentanément remplacée par celui de la close-up d’apple, l’audio de la personne interrogée n’est pas coupée du tout. Ceci offre l’effet d’illustrer simplement visuellement ce qui est dit. Pour Documatic, ce type d’images peut être éventuellement lié à une personne spécifique, ou un morceau de la narration en plus le sujet avec des images dont tous les éléments sont associés.
Images de la narration
Si oui ou non ce dernier élément vidéo, narration, est incorporé dans le projet du tout est à la discrétion du directeur. Films de Errol Morris, tels que The Fog of War, ont peu ou pas de narration et se composent entièrement d’entretiens et présentent des images. Autres films, comme Hearts of Darkness : Apocalypse A cinéaste, utiliser la narration pour faciliter les liens entre les sections du documentaire et établir un récit plus solid dans l’ensemble.
Dans le cadre de Documatic, clips de narration sont conservées comme des éléments facultatifs qui offrent simplement une introduction Audio uniquement à une section particulière. Images de l’exposition peuvent être liée à une partie spécifique de la narration et automatiquement regroupés avec elle pendant le processus d’édition.
Ainsi, ajouter cet ensemble plu de règles, en plus concept de Bordwell d’un film « catégorique », traduit par cet ensemble complet de règles qui régit la sortie et la production d’un documentaire de Documatic :
1) UN DOCUMENTAIRE DE DOCUMATIC SE COMPOSE D’UNE SÉRIE DE RUBRIQUES (SECTIONS) SUR UN SUJET PARTICULIER.
2) CHAQUE SECTION PEUT CONTENIR DES PIÈCES D’ENTRETIEN, PIÈCE OU DE LA NARRATION SE RAPPORTANT À SON SUJET.
3) UN EXTRAIT DE L’INTERVIEW PEUT ÊTRE RECOUVERT D’UN SEGMENT DE L’EXPOSITION DES IMAGES QUI ILLUSTRE CE QUI EST DÉCRIT DANS L’INTERVIEW.
4) UN EXTRAIT DE L’ENTREVUE PEUT ÊTRE SUPERPOSÉ AVEC LE TEXTE DES SÉQUENCES QUI TRANSMET DES INFORMATIONS TELLES QUE NOM DE LA PERSONNE INTERROGÉE.
5) UN CLIP DE NARRATION PEUT INTRODUIRE UNE SECTION ET ÊTRE RECOUVERT D’UN SEGMENT D’EXPOSITIONS D’IMAGES QUI ILLUSTRE CE QUI EST DÉCRIT DANS LA NARRATION.
En utilisant ces règles simples et à les utiliser pour guider le processus de production et de les appliquer ensuite à la façon dont le projet générateur construit une séquence vidéo, nombreuses étapes processus filmique peuvent être automatisées, et beaucoup d’effort peut sauvé par le cinéaste en termes d’organisation et de structuration. À l’aide d’un système de logique a l’avantage supplémentaire de projets individuels peuvent être transmis à un tiers sans conjectures supplémentaires ou des explications supplémentaires.
Encore une fois, si vous voulez entrer plus profondément dans la théorie de médias qui permettent le développement de ce programme, veuillez consulter mon document de conception officiel à :
http://dwig.LCC.gatech.edu/projects/Quitmeyer/site/Papers/Quitmeyer_Andrew-Thesis_Design_Document.pdf
