Étape 4: maintenant pour la partie
Il s’agissait des tonnes de plaisir. C’est comme l’art, mais pour les hommes ! Pas que les hommes n’ont pas fait beaucoup d’art... mais c’est plus comme art pour manlier hommes que l’artiste moyen. Aucune « interprétation » requise, cela demande juste bonne motricité fine et un amour pour la fumée et l’odeur de bois brûlé.
Il n’y a aucun gommes à effacer, pour ne pas faire des erreurs ! Vous touchez que le fer vers le bas de n’importe où vous voulez, vous êtes coincé avec elle. Eh bien, vous pouvez essayer de le couvrir, c’est pourquoi mon A l’air tellement merdique. J’ai frappé un point dur sur le bois sur le battement vers le bas, vacillé et dut faire le battement vers le bas deux fois aussi large pour le couvrir.
Je recommanderais d’échauffement avec quelques coups de pratique sur le dos afin que vous ne gâcher votre première lettre. J’aurais dû.
J’ai aussi trouvé en tirant est beaucoup plus facile qu’en poussant la lame du couteau. Poussant a tendance à creuser et graver une tache ou slideshow sur. Si vous faites attention, vous pouvez rouler la pointe un peu dans votre main et tirez ou poussez sur le côté pour faire un cône (c’est comment j’ai fait les bits incurvés à la fin des lignes droites, le MEAC H assez que bien je pense)
Nettoyer le bout quand vous voyez le char s’accumuler sur elle ou si elle semble être brûlant peu faible. Ce char est un isolant et réduit vraiment la chaleur pour le bois.
Notez que si vous tenez le fer pour un certain temps pas en contact avec le bois, il va chauffer et essayer à brûler très vite lorsque vous tout d’abord le contact il vers le bas. J’ai évité cela en poussant doucement l’éponge après tout des tenant au-dessus du bois de refroidir le fer un peu de retard.
Les E sont probablement les plus difficiles. Lignes droites sont beaucoup plus faciles à graver. La prochaine fois que je fais un signe, ça va être dans un vieux genre anglais de polices, avec beaucoup de lignes droites.