Étape 1: Avalanche !
Touché par un autre accident d’avalanche lourd - 6 victimes à la fois - dans les Alpes Français il y a quelques jours j’ai commencé à réfléchir.
Longtemps, il aurait pu être moi. Pendant une randonnée en raquettes nous a totalement explosé Cap dans la tempête. Voile blanc complet. Parce que nous savions que la partie de la montagne était mauvaise affaire à se coincer, nous avons essayé de passer le meilleur nous pourrions et puis, quelque part, tout d’un coup, la terre entière a commencé mouvement. La neige croustillante émietté en morceaux 1 million sous nos chaussures et je me sentais lavé loin avant que j’ai pu réaliser ce qui se passait. Impossible de définir en haut et en bas. Organes conservés par gravité.
Avalanche.
« C’est elle. » Ma seule pensée de ce moment.
Nous étions sur le mauvais endroit au mauvais moment. L’appeler comme ça.
Nous devons tous faire des erreurs, mais à haute altitude, vous leur payez en espèces. Toujours.
Nous l’avons fait ce jour-là, vivant. Mon copain a cassé le bras et je me suis cassé quelques côtes. La perte de la moitié de notre équipement est le plus petit de nos problèmes. Il nous a fallu 39 heures pour atteindre la sécurité, souffrant de rhume et de la douleur mais en surfant sur les émotions & endorfines. Nous l’avons fait. Alive ! Mode Survival, vous savez.
Je n’oublierai jamais ces moments. Jamais. La surprise, la panique, la peur, la douleur.
Et le soulagement, la joie immense j’ai ressenti quand j’ai écrasé dans les arbres qui dispersé l’avalanche - et écrasé ma poitrine comme leur façon de me faire payer pour leurs services.
Lorsque les années passèrent, j’ai commencé à penser à ce qui aurait pu sauver nos vies, ce jour-là, si nous aurions juste quelques mètres plus loin.
Ce n’était pas ce couteau fou. Ce n’est que cool allume-feu. Ce n’était pas ce kit de survie de haute technologie.
Ce qui, si nous ne rencontrons ce bouquet d’arbres ?
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