Étape 10 : Discussion
Eh bien, le résultat final a été montré à l’avant. Voici quelques réflexions sur la méthode que j’ai utilisé.
Une vitre comme plaque frontale temporaire a plusieurs côtés positifs :
- planéité
- facile à nettoyer
- transparence
mais il ne réalise pas très bien, la chaleur qui, si le chauffage n’est pas parfaitement encore, provoque des effets de tension superficielle (Marangoni). Cela rendra très difficile à obtenir une couche uniforme de cire. Je suppose que c’est ce qui a causé la liaison imparfaite des sept sphères près du centre de la peinture ; La cire était plus épaisse près de la limite de la digue, qui fait le centre (de l’arrière) légèrement concave. Lors de ma tentative de pousser les sphères dans l’enduit époxy, les sphères près de la périphérie ont été poussées beaucoup plus profonds dans l’orifice de remplissage que ceux près du centre.
À la base de la procédure autour de cire était peut-être une erreur. Non seulement ai-je eu certains que problèmes obtenir un lit plat de cire pour les sphères, il avait tendance à se retrouver sur les surfaces qui devaient être peints ou collés. Je voudrais me débarrasser de ces fastidieux nettoyage et dégraissage des séances. Du bois en métal, n’importe qui ? Un vide sur plaque avec un arrangement hexagonal préalablement percé de trous, peut-être ? Surprends moi !
J’ai se soucient pas beaucoup en alignant le modèle de sphère pour être parallèle à l’horizon. C’était peut-être une erreur, car il rend presque impossible de peindre des lignes verticales ou horizontales avec précision. Au moins si vous peignez « ad lib », comme je le faisais.
Oui, une sorte de carte générée par ordinateur, montrant comment il faut peindre chaque dos de sphère, aurait probablement aidé, mais qui aurait tué le frisson et le sport de celui-ci...