Étape 2: Le circuit
Le schéma est illustré dans l’image.
Essentiellement, le circuit peut être divisé en la partie chargement vers la gauche, la captage de partie au milieu et l’éclairage LED sur la droite de la lumière.
Pendant la journée, la tension aux bornes de la cellule solaire est haute et le courant traverse la diode pour charger la batterie NiMH. Charge en ampères C/10 h (où C est la capacité de la batterie en Ah) est censé être sécuritaire pour une charge lente continue. Donc avec 1000 mAh batteries, nous devrions être en mesure de gérer 100 mA. Nos 70 mA cellule solaire pratique génère 50-55 mA été direct UK, lumière du soleil et nous sommes sûrs d’un facteur 2 il - jolie beaucoup idéal pour pack de recharge assez rapide mais en gardant la batterie en bon état.
Quand il fait sombre, la tension aux bornes du panneau tombe. Cela peut consommer un courant significatif de la batterie (ce qu’on appelle "courant d’obscurité", qui sonne comme le mauvais côté de la force pour moi). C’est pourquoi la diode. J’ai utilisé une diode vF faible pour réduire combien d’ou énergie nous brûlons se passé. Nous pouvons puiser dans cette chute de tension pour allumer la lumière quand il fait sombre. C’est là qu’intervient le transistor PNP.
En faisant un diviseur de tension entre le panneau solaire et la terre et cela attachant à la base de la PNP, nous couler un très faible courant d’émetteur-base lorsque le panneau solaire s’arrête en tirant une tension. Cela permet un plus grand émetteur-collecteur actuel s’écouler. Le diviseur de tension entre la cellule solaire et la terre peut contrôler la tension du point de commutation et donc le niveau de luminosité auquel notre lampe s’allume.
Une fois que notre PNP s’allume, un courant circule dans le circuit de lampe sur le droit du diagramme (et Conseil).
D’ici nous avons un circuit « voleur de joule » pour la lumière LED. Explication de ceci est plutôt au-delà de ce résumé, mais, encore une fois, Evil Mad Scientist vient à notre secours : voir ici pour un grand voleur Joule article et ici sur Wikipedia pour une explication plus approfondie. L’effet global est que nous lumière blanc 3V dirigée d’un 2,4 V batterie rechargeable et peut continuer d’utiliser la batterie comme sa tension baisse. Le condensateur n’est pas une partie essentielle du circuit, mais c’est génial pour l’efficacité. Sans lui, je trouvais 100mA étant demandée par la batterie ! Avec un 1nf condensateur qui descend à travers 18mA mais la LED est tout aussi brillant.
Enfin, le commutateur isole la partie joule-voleur afin que nous puissions continuer à charger la batterie, mais la lampe éteinte. Si vous désactiver cette option puis la mA de 5 à 10 qui sont générés à l’ombre peut te permettent juste de recharger la batterie en hiver pour vous éclairer sur un soir par semaine !