Étape 3: Ogive Electronics
En termes simples, c’est un circuit qui prend un signal de commutation de reed et opère une minuterie qui possède un interrupteur de sécurité qui, après une durée programmée, ouvre un chemin dans le MOSFET au condensateur qui enflamme les moteurs étape deuxième.
En plus élaborées termes !
(1) un interrupteur reed est connecté à un aimant sur la fusée de lancement plaque et envoie des signaux d’entrée à l’Arduino pour indiquer si la fusée a quitté la rampe de lancement.
(2) l’Arduino lit l’entrée de l’interrupteur reed et tournera une petite LED activé ou désactivé sur la carte elle-même pour indiquer si l’aimant est en effet sur l’interrupteur. Cela vous permet de vérifier le positionnement de la fusée car elle se situe sur la rampe de lancement ainsi que le manque d’un bon contact n’entraîne pas les moteurs à s’enflammer dans ta face !
(3) un interrupteur de sécurité petit active le programme final dans lequel la suppression de l’aimant de l’interrupteur de sécurité (qui se produit quand les moteurs stade 1er décoller) déclenche une minuterie qui déclenche les moteurs étape seconde env. 1,7 secondes après que les moteurs de stade 1er ont tiré et s’est éteinte.
AVERTISSEMENT : On pourrait aussi utiliser un élément piézo-électrique pour détecter l’activation des moteurs 1er étage à la place de l’interrupteur reed. Il serait facile à faire, mais le programme devra être légèrement plus complexe, car il faudrait prendre une lecture initiale des vibrations venant de la fusée et devra garder en quelque sorte la minuterie engagée pour la durée (deux secondes environ) du vol avant les deuxième feux de scène. Sinon, la minuterie pourrait remettre en vol et la mise en scène pourrait finir pas donc favorablement.
Construction
La construction de la perfboard du circuit est assez simple et ne devrait prendre que quelques heures tout au plus.
(1) tout d’abord, vous allez vouloir construire la commande de puissance MOSFET. Le paquet elle arrivera en contient tous les composants dont vous aurez besoin et il suffit de souder les composants de leurs respectives par l’intermédiaire de.
(1,5) le Arduino doivent être prêt comme c’est quand vous le recevez pas, vous inquiétez ne pas à faire n’importe quoi pour elle (en dehors de la programmation il bien sûr!)
(2) l’Arduino alimentation électrique est fournie par deux piles boutons CR2032. Tant qu’ils sont complètement chargées, puis ils devraient fournir une alimentation électrique stable. Cependant, comme le destin aurait-il, certaines de mes cellules de bouton d’espace ne sont pas tous à 6 volts et j’ai dû ajouter une cellule de bouton supplémentaire pour obtenir l’Arduino pour travailler correctement. En ce qui concerne la construction proprement dite, c’est simple ; les détenteurs de la batterie sont soudés avec un fil entre l’anode et la cathode. MAIS il y a quelque chose à connaître : Si vous achetez les détenteurs de la batterie de Radioshack, comme je le fais, alors ne va pas la polarité indiquée sur les supports (ou au moins, c’est pour ce projet). C’est parce que les batteries vont dans le support mais ne sont pas assis correctement, ce qui les rend sujettes à tomber à la moindre bosse (et cela n’adaptera pas évidemment bien pour un environnement de vibrations-abondance). Faire semblant positif est négatif et vice versa et pour une protection supplémentaire des vibrations, j’ai pris peu de ruban électrique et il enveloppés individuellement et hermétiquement autour de chaque titulaire.
(3) l’ensemble d’interrupteur reed est juste Contact reed soudé dans une perfboard avec un pôle étant câblé rouge (représentant qu’il va pour le + 5V pin) et l’autre pôle ayant une résistance k 10 et le fil vert soudé à elle (représentant le fil allant à la broche numérique 7). L’extrémité ouverte de la résistance obtient un fil noir soudé à elle (soit qu’il va à la broche GND).
(4) l’Arduino socket/perfboard est la partie la plus difficile, mais devrait être assez simple. Tout d’abord, prendre les en-têtes de la femelles et les couper à la taille, avec deux rangées de 15 broches. Ensuite, souder à une perfboard avec une largeur de 5 par l’intermédiaire de. Directement au-dessus de la prise, vous laisser peut-être 3 via les de distance. Souder le commutateur SPDT pour le perfboard, puis sur l’un des lancers du commutateur de souder une résistance de 10 k à la Commission. PUIS, au-dessus, placer les bornes du condensateur et souder aussi étroitement à l’interrupteur que possible. Après que ces composants ont été placés, tout ce qui reste à souder est les fils, yay !
(5) concernant l’enchevêtrement de câbles, juste le décomposer par des sous-groupes de composant et vous devriez avoir un temps facile à gérer tout cela. Tout d’abord, vous allez vouloir au fil rouge, le côté positif de la puissance de cellule de bouton d’alimentation sur la broche de VIN, suivie par black câblage le côté négatif de l’alimentation sur la broche de terre qui se trouve à côté de la broche de VIN. Ensuite vient les bornes à vis pour la PAC. Le côté positif est rouge filaire au Conseil MOSFET sur la borne +, et puis le côté négatif est noir relié à la la broche de terre sur l’Arduino. Le MOSFET a sa - terminal connecté à la broche de terre sur l’Arduino et C terminal connecté à la broche numérique 5. Le commutateur a son pôle câblé pour le + 5V broche et le jeter a la résistance et un fil allant à la broche 8 numérique, avec la fin de la résistance se connectée à la broche GND.
C’est tout ! La carte principale est maintenant terminée ! Beau travail !