Étape 2: Vidéo de Moon Walk
http://www.Video.Spacetravel.org/videos/125/Apollo-17-Moon-Walk-and-Scientific-Study
La force centrifuge: à la différence de gravité réelle qui tire vers un centre, cette Pseudo-force qui apparaît dans la rotation des cadres de référence donne une rotation "gravité" qui pousse loin de l’axe de rotation. Les niveaux de gravité artificielle varient proportionnellement avec la distance du centre de rotation. Avec un petit rayon de rotation, le montant de gravité ressenti à tête serait sensiblement différent de celui ressenti à ses pieds. Cela pourrait faire mouvement et changement de posture inconfortable. Encore une fois, les rotations plus lentes ou plus grands rayons de rotationnels ne doivent pas conduire à un tel problème.
La force de Coriolis donne une force apparente qui agit sur les objets qui se déplacent. Cette force a tendance à s’incurver le mouvement dans le sens opposé à la rotation de l’habitat. Effets produits par l’effet de coriolis agissent sur l’oreille interne et peuvent causer des étourdissements, de nausées et de désorientation. Des expériences ont montré que des taux plus lents de rotation réduisent les forces de Coriolis et de ses effets. On croit généralement que 2 tr/min ou moins aucun effet néfaste de la Coriolis forces aura lieu, à des taux plus élevés certaines personnes peuvent prennent l’habitude et certains le font pas, mais à des taux supérieurs tr/min 7 if peu tout peut s’habituer. On ne sait pas encore si très longues expositions à de fortes concentrations de forces de Coriolis peuvent augmenter la probabilité de devenir habitués. Les effets de nausée induisant des forces de Coriolis peuvent également être atténués en limitant le mouvement de la tête. Appuie-têtes sont peut-être pratique pour exercer en gravité artificielle (une salle de gym de gravité artificielle), mais pas pour grand chose.
Cette forme de gravité artificielle donne des problèmes système supplémentaires :
La taille et la vitesses et la période des différents rayons de défis d’ingénierie de stationThe de l’espace de la création d’un vaisseau spatial tournant sont relativement modestes à
Énergie cinétique : filature des parties ou la totalité de l’habitat nécessite d’énergie. Il faudrait un système de propulsion et propulseur d’un certain type de démarrage (ou spin down) ou un moteur et contrepoids quelconque (éventuellement sous la forme d’un autre espace de vie) à tourner dans le sens inverse.
Si certaines parties de la structure sont intentionnellement pas filer, friction et couples similaires provoquera le taux de spin à converger (ainsi que ce qui provoque les parties non stationnaires à tourner), exigeant que les moteurs et la puissance qui sera utilisée pour compenser les pertes dues à la friction.
Inertie angulaire peut compliquer le contrôle spatial de propulsion et l’altitude particulièrement lorsque aucun contrepoids n’est employée.
Les défis d’ingénierie de la création d’un vaisseau spatial tournant sont relativement modestes à toute autre approche proposée. Conceptions théoriques de vaisseaux spatiaux à l’aide de la gravité artificielle ont un grand nombre de variantes avec problèmes intrinsèques et les avantages. Afin de réduire les Coriolis force aux niveaux habitables, un taux de spin 2 tr/min ou moins seraient nécessaires. Pour produire 1g, le rayon de rotation devra être 224 m (735 pi) ou plus, ce qui en ferait pour un vaisseau spatial très grand. Afin de réduire la masse, l’appui le long du diamètre pourrait consister en rien d’autre qu’un câble reliant les deux sections de l’astronef, éventuellement un module sur l’habitat et un contrepoids constitué de toutes les autres parties de l’engin spatial. On ne sait pas encore si l’exposition à densité élevée pendant de courtes périodes de temps est aussi bénéfique pour la santé comme une exposition continue à la gravité normale. Il n’est également pas connus comment efficaces faibles niveaux de gravité serait pour contrer les effets néfastes sur la santé de l’apesanteur. Gravité artificielle à 0,1 g exigerait un rayon de seulement 22 mètres (74 pi). De même, dans un rayon de 10 m, environ 10 tours/minute devait produire la gravité de la terre (au niveau des hanches ; gravité serait 11 % supérieur aux pieds), soit 14 tr/min pour produire 2g. Si brève exposition à densité élevée peut réduire à néant les effets sur la santé de l’apesanteur, alors une petite centrifugeuse pourrait servir comme une aire d’exercice.
La mission Gemini 11 a tenté de produire la gravité artificielle en faisant tourner la capsule autour de l’Agena Target Vehicle, auquel il était attaché à par une sangle de 36 mètres. La force résultante était trop petite pour être ressentis par chaque astronaute, mais les objets ont été observés se déplaçant vers le « sol » de la capsule.