Étape 3: Conception électrique
Afin d’accélérer le processus de génération, j’ai choisi les capteurs qui sont venus sur les planches en petits groupes avec la goupille standard de 2,54 mm. Le système est construit à l’aide de câblage point à point avec seulement une poignée d’épissures utilisant autant mâle temporaire aux raccords femelles en-tête que possible pour garder de brasage au minimum. Voici une répartition des différents systèmes électriques. L’illustration ci-dessus est un hybride bloc diagramme/schéma puisque la quasi-totalité de l’électronique sont des modules complets (la pièce jointe est la fiche de données de capteur Sharp).
Puissance
Le système d’alimentation de la station météo est entièrement autonome (sans frais d’utilisation externe ports!). Un petit panneau solaire alimente environ 6 volts, à environ 330 mAh (sur une journée ensoleillée) dans les broches d’entrée DC d’un chargeur solaire de batterie Lithium polymère Adafruit. Le chargeur dispose de deux prises JST : un pour la batterie et l’autre à la charge. L’ensemble du système attire environ 300 mAh, elle doit avoir beaucoup de puissance pour durer grâce à une longue nuit avant de charger à nouveau au cours de la journée. La broche de terre de la connexion de charge sur le chargeur sont reliés directement à la masse du système, avec la broche de sortie positive reliée à un interrupteur à glissière agréable. La sortie de l’interrupteur à glissière possède deux connexions (encore à ~ 3.7) de la batterie) avec une seule connexion à la broche de VIN du convertisseur élévateur 5V et l’autre sur la broche de VIN du convertisseur élévateur 9V. Quoique le 9V hors le convertisseur élévateur pourrait alimenter les deux le VIN code pin de la carte Arduino Edison Intel de la dérivation et l’anémomètre (qui est spec ' d à courir à 7-24V), régulation il vers le bas à 5V est peu rentable, alors j’ai décidé d’utiliser l’alimentation 5V distinct. L’alimentation 5V est connectée via un câble d’USB micro épissé à la IEABB, qui fournit alors une prise femelle de nice 2,54 mm axe facile pour fournir des connexions externes 3.3V et 5V pour les capteurs.
Contrôle
L’Edison Intel est le contrôleur principal du système. J’ai décidé d’utiliser la carte Arduino-style de dérivation car il grandement simplifie le câblage à l’Edison et fournit un socket de carte micro SD à bord. La carte de dérivation permet de connecter facilement les capteurs analogiques et rend tirivial pour se connecter aux ports I2C et SPI.
E/S
Même si je suis rassemblant six points de données, j’ai dû seulement cinq capteurs. J’ai utilisé un anémomètre qui fournit un signal analogique belle basse tension qui est proportionnel à la vitesse du vent. Une dérivation de l’altimètre me donne les valeurs de température et de pression sur I2C. J’ai utilisé un capteur d’humidité analogique minuscule, qui combinée à la température de l’altimètre, m’a permis de calculer l’humidité relative. Le capteur de lumière est un TSL2561 qui me permettra de mesurer une vaste gamme de valeurs en lux et communique sur I2C ainsi, économiser quelques épingles. Un capteur de poussière optique Sharp fournit une tension analogique proportionnelle à la concentration de particules dans l’air. Une horloge en temps réel est connectée à l’Edison via SPI pour horodater les données du capteur. Une LED confirme que le convertisseur 5V fonctionne correctement. Enfin, une LED est reliée à une tige de Edison numérique afin qu’il puisse communiquer l’état du système.
La seule réelle de l’homme « entrée » est l’interrupteur d’alimentation. J’ai voulu garder des trous dans l’enceinte au minimum car cela augmenterait les risques d’infiltration, d’eau, donc il n’y a aucune entrée d’utilisateur d’un point de vue matériel. La station météo est censée être laissé seul pour longues périodes de temps, et chaque sens configuration devraient être faites dans le logiciel avant le déploiement à l’extérieur de la station.