Jusqu’il y a six semaines, je savais rien sur la poterie. Aucun événement spécial, en fait, je savais aussi rien sur la science de fusée, fromage islandais et grenouilles hallucinogènes. Mais, qu’un géologue, j’ai toujours été intéressé par la relation particulière entre la terre aux sciences leur utilité dans notre vie quotidienne.
J’ai connu pas mal de choses sur l’argile, par exemple, mais vraiment rien quant à la manière de la transformer en, disons, une tasse de thé de nice. Ou une tasse de thé laid. Je savais que la chaleur était impliqué, mais il l’histoire s’est terminée.
Vous le savez, je suis vivant en Flandre aka le côté intelligent de Belgique - haha, une région avec une teneur en argile très élevée dans le sol, quelque chose que j’ai découvert dans ma tentative de faire des bombes de semences. Fasciné par sa stickyness que j’ai décidé de faire quelque chose avec ce matériau.
Travail-avec-clay est devenu l’un de ces défis sur ma liste de seau. C’est aussi une occasion rêvée de quitter les sentiers battus de mon quotidien workfield - bois & métal, ce genre de choses. Apprentissage de nouvelles compétences, poser des questions différentes, découvrir de nouveaux matériaux.
Chaque artisan a besoin d’un but. Mine est devenu "faire une tasse de thé simple avec la substance collante de notre arrière-cour" - qui aurait été un titre très ennuyeux, btw.
Je voulais savoir comment on se sentait à boire du thé noir que mes amis népalais m’a envoyé, dans une tasse de selfmade. Faire creuser moi-même, faisant de la mise en forme moi-même, faire du feu-chose moi-même - c’était quelque chose je viens jamais fait avant.
J’ai pensé que, dans la coquille de droite, même un féroce liquide comme le thé au beurre d’yak pourrait devenir délicieux. J’ai plus qu’une seule fois, ce genre de choses et même dans la meilleure compagnie du monde que c’était certainement tout - tous les adjectifs tolérés - goûté mais délicieux. Pas autorisés à refuser une deuxième remplissage, entre les hauts sommets à la frontière entre le Népal et le Tibet. Ne pas fait. Il suffit de sourire, bro.
Et donc, enfin, cet hiver je suis allé en poterie. Et l’art du thé au beurre d’yak des basses terres de brassage.
Dédié à mes amis népalais.
Erreurs inclus.