Etape 2: Peindre l’herbe (argggh).
Comme je le disais, les arrière-plans ne sont pas mon point fort. Je suis mieux à mettre l’accent sur le sujet principal d’une peinture que ses environs. Quand j’ai regardé le gâchis inextricable d’herbe africaine dans ma photo de référence, je n’avais
aucune idée quoi faire avec elle. C’est où j’ai déploré le fait que je suis un autodidacte et n’est pas professeur d’art à me dire comment traiter avec de l’herbe comme ça (mon père utilisé pour peindre et me donne souvent des conseils utiles, mais il était au travail ce jour-là, et je ne pouvais pas me permettre d’attendre dix heures pour qu’il Vienne maison). J’ai commencé en fixant quelques couleurs de base, pensant que peut-être quelque part le long du chemin que je serait à comprendre comment prendre soin des choses. Ma première tentative de faire l’herbe juste
n’était pas de travailler pour moi, donc j’ai fini de peindre dessus et recommencer à nouveau. Je suis allé et ressemblait à un livre d’art de la faune africaine qui s’est passé à être assis dans ma chambre et a décidé de simplifier l’herbe et à être moins préoccupé par ce qui en fait correspond à la photo de référence. Il allait mieux la deuxième fois autour, et même si je ne suis pas totalement heureux avec elle, je ne suis pas consterné par ce dernier, donc je suppose que c’est assez bon.
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