Étape 1: Conception de circuits et principe de fonctionnement
Dans cet esprit, j’ai choisi d’utiliser une sonde de tableau LED inversée. Quand la lumière tombe sur la jonction P-N dans une LED, une tension est produite qui est proportionnelle à l’intensité du rayonnement. En ayant deux voyants connectés anode à la cathode, une LED va produire une tension positive en réponse à la lumière et on va produire une tension négative. Lorsque la quantité de lumière qui tombe sur les deux LEDs est égale ces tensions seront somme à zéro. Toutefois, si une LED obtient plus de lumière sur elle une nette tension existera et peut être extraites. Selon que la tension de sortie est positive ou négative, nous saurons qui LED est d’obtenir l’intensité lumineuse incidente plus élevée.
Car cette conception repose sur une tension et pas un courant, il aura pas la consommation dans la scène du capteur. C’est dans le contrat sur une légère résistance sensible ou le transistor qui aura un pouvoir dessiner. Un autre avantage du capteur LED est que nous pouvons augmenter la sensibilité en connectant plusieurs LEDs en série sur les deux sites de polarité. Notre conception finale utilisera 5 à 10 LED connectées en série pour les deux lieux de polarité avant et arrière afin d’améliorer la souplesse. Pour l’instant j’ai juste utilise un dans chaque emplacement comme je l’ai montré dans le schéma.
Les résultats de l’étape de capteur seront tout d’abord être connecté à un ampli op mis en place comme un tampon. Cela empêchera toute petite intensité débitée dans le circuit en aval d’entraînant des variations de la tension dans les capteurs. La sortie de ce tampon va nourrir deux autres amplis op utilisés comme amplificateurs : un non inversé et une inversion. Les apports complémentaires de ces amplis op seront définis par une série de potentiomètres et la sortie d’ampli op sera envoyée à H-bridge pour entraîner le moteur.
L’étape d’entrée et étalonnage utilisateur est composée de trois potentiomètres et une résistance. Cette configuration est essentiellement un diviseur de tension réglable. La résistance (470kohm. Désolé, j’ai oublié de marquer lorsque j’ai dessiné le schéma) fait baisser à tension entrant dans les potentiomètres et empêche le système de jamais avoir un chemin de faible résistance de l’anode à la cathode. Le premier potentiomètre développe un écart de tension entre les deux fils d’aller à l’étape d’ampli op. Ce réglage se développe ou contrats de la gamme des valeurs stables dans le système qui permet à des disparités subsistent entre l’intensité de la lumière à la LED sans conduire automatiquement le moteur. Les deux autres potentiomètres régler le point d’équilibre du système. Ceux-ci doivent être définis tels que le moteur ne tourne pas lorsque l’éclairement égal est fournie pour les LEDs.
Je tiens à souligner que courant sera constamment tiré par l’étape d’entrée et d’étalonnage. Afin de limiter le courant à une valeur très faible, j’ai choisi des valeurs de résistance relativement élevé (le plus haut j’ai eu en main pour breadboarding). Avant de faire le prototype de PCB que j’ai mesurera la dissipation d’énergie en veille du circuit à l’aide de multimètres deux, une pour le courant et une tension et optimiser cette étape pour tirage minimum puissance parasite. Puissance (P) est égal au courant (I) fois tension (E), ou P = I * E.
La sortie de l’étape de traitement commandera les transistors sont ouverts dans le H-bridge. Quand un va vers le haut, le transistor PNP sera close et le transistor NPN seront ouvert. Quand il est faible, le contraire se produira. Le circuit de l’instance est conçu de sorte que lorsque A est élevée, B est faible et visa versa. Avec un plus haut et B faible, un courant traverse le moteur de droite à gauche comme indiqué sur le schéma. Si B est élevé et A est faible, le courant passera par le moteur, de gauche à droite. Cela entraînera le moteur de tourner dans des directions différentes selon l’état d’entrée et de permettre éventuellement le panneau solaire pour aligner directement face au soleil.
Les diodes dans le H-bridge, appelés flyback diodes, sont là pour éviter d’endommager le circuit. Lorsque vous conduisez une charge inductive comme un moteur de grandes pointes de tension peuvent se produire lors du changement actuel. Une baisse soudaine de courant va entraîner une pointe de grande tension et en connectant les diodes comme indiqué, le courant est donné un chemin d’accès de voyager mais qui ne sera pas frire nos appareils électroniques.