Étape 3: recherche
Des études ont montré les applications pratiques et utiles des piles à combustible microbiennes (MFCs). Pratiquement n’importe quelle matière organique comme les eaux usées humaines, animales et industrielles, ainsi que les sucres, amidon et la cellulose, peut être utilisé pour alimenter un MFC pour produire de l’électricité. MFC ont potentiel pour traiter les eaux usées et peut être implémentée dans les usines de traitement de l’eau. Dans cette optique, nous avons examiné les possibilités de construire réellement une MFC avec des matériaux facilement accessibles, bon marché et communes. Examinant les d’une MFC typique, les matériaux pour construire un MFC efficace peuvent coûter des centaines de dollars. Le coût des matériaux peut être considérablement réduit en utilisant des matériaux bon marché, communes.
Comment ça marche : Il y a deux chambres : l’anode et la cathode. L’anode contient la bactérie (lactobacillus) et la matière organique, tandis que la cathode contient un tampon phosphate (pH = 7,7). Les bactéries dans l’anode devront se soumettre la respiration anaérobie qui exige un vide d’oxygène dans cette chambre alors que la cathode doit avoir une présence de l’oxygène. Comme les électrons dans l’anode sont oxydés, les électrons sont alors transportés à travers un fil relié à une tige de carbone de l’anode à la cathode, réduisant l’eau à la cathode. Les ions d’hydrogène qui sont produites dans les réactions dans l’anode sont également déplacées de l’anode à la cathode à travers une membrane semi-perméable pour des protons (ions H +). Cela crée un gradient électrochimique et chimiques qui essentielles permet au courant de circuler à travers le fil.