Etape 13 : Le cerveau du microcontrôleur
Nous pourrions utiliser la sortie du capteur à effet hall directement, mais imaginer la consternation de l’utilisateur ! Parfois, nous devions réellement décompresser nos pantalons, et nous ne voulons pas être buzzé en permanence.
Donc, nous allons ajouter un microcontrôleur pour périodiquement vérifier l’état de la fermeture à glissière et avertit l’utilisateur si leur vol est en panne. L’essentiel du travail ici se fera dans le logiciel. En choisissant un microcontrôleur, je suis allé avec une famille j’ai déjà eu un programmeur pour, et qui ne connaissait pas à un public plus large - le ATtiny. Ce sont des microprocesseurs de petite 8 bits avec sortie de tension jusqu'à 1.8V, parfait pour une application de petites piles. Nous n’aurez pas besoin de beaucoup de puissance de traitement, et nous n’aurez pas besoin de plusieurs entrées ou sorties.
Pour cette famille de processeurs Attiny, nous devons associer un connecteur pour une interface ISP (In-system Programming). Cela va nous priver de certains des broches sur notre dispositif, mais heureusement, nous avons beaucoup à perdre. C’est un bon moment de constater qu’il semble être que rien de connecté au microcontrôleur, sauf fils nommés ! Dans les schémas, il est souvent commun pratique à étiquette un fil (ou « net »), et deux filets sont considérés comme connecté si elles partagent le même label, même s’il n’y a aucun fil explicite illustré. Par exemple, broche 1 du connecteur ISP (MISO) est connectée à la broche 8 sur le ATtiny (PA5) à travers le net nommé « MISO ». Les lignes RESET, SCK et MOSI sont reliés de la même manière.
La feuille de données est très longue (238 pages). Autant de fois que vous pouvez vous contenter de ne pas avoir à lire tout cela, car il sont des bibliothèques souvent standard ou des outils de développement qui peuvent abstraire les détails nitty gritty d’activation/désactivation de bits dans les registres. L’IDE Arduino est un bon exemple de cela.