Étape 4: Couper les arbres
Ce que j’ai vite compris qui était alors que massivement, dans le sac, il avait l’air beaucoup comme une forêt, mais quand il s’agissait d’arbres individuels, j’ai eu mon travail taillée pour moi. Nous savons tous comment faire pousser des arbres : ils commencent à une seule tige (le tronc), puis cette tige bifurque, fractionnement en quelques grandes branches, puis ceux qui, à son tour bifurquent et ainsi de suite et ainsi de suite, jusqu'à ce que nous avons beaucoup de petites branches au sommet. Eh bien, la mousse a bien sûr beaucoup de petites branches au sommet, ce qui est ce qui fait paraître tellement intéressant et arborescente. L’astuce se cachait vers le bas ci-dessous. Les tiges plus grandes, plus épaisses en bas tous bifurquait, sauf qu’après qu’ils bifurquait, ces branches ont fusionné avec les branches venant d’autres tiges, puis ramifié à nouveau et fusionné encore une fois, donc au lieu d’arbres peu soignés ce que j’avais sur mes mains était plus comme un réseau tridimensionnel.
Ainsi en est sorti les ciseaux de manucure et de la pince à épiler. Les pinces étaient principalement pour tirer les petits morceaux d’aiguilles et herbe sèche et de feuilles sèches et divers autres cochonneries floral jonchent le sol forestier (et donc la mousse il y de plus en plus). J’ai vite compris qu’ils n’étaient pas utiles pour déchirer les branches. Ce que j’avais à faire, était de prendre un gros bouquet, examinez-le, trouver un lieu où quelques grosses tiges semblait particulièrement arborescente, découpez ces touffes plus petites, puis s’installer sur une ou deux tiges, j’allais faire dans les arbres et coupez soigneusement les branches qui n’appartiennent.
Quand j’ai eu quelques bons arbres, j’ai pris l’acrylique marron, une petite brosse douce et brossé la brune sur les tiges et les branches, la plus grande en les transformant en assez convaincante des troncs.
Alors j’ai dilué peu plus de colle, rincé mon pinceau, soigneusement brossé peu de colle sur les petites branches supérieures, puis secoua un troupeau sur eux, formant le feuillage.
J’ai quitté les faire sécher et sommes rentrés à le œuf.