Le diagramme de l’essai de résolution Force aérienne immédiatement supérieur est souvent utilisé pour mesurer la résolution d’un système d’imagerie comme une caméra ou un microscope. Le plus petit triplet de lignes qui peuvent être distingués (c.-à-d. résolues) dans des lignes distinctes, indique la limite de résolution de ce système dans chacune des dimensions X et Y (en paires de lignes par mm, lp/mm, donnée par une fonction d’étiquettes numériques de ce triplet). Je voulais un modèle similaire qui pourrait être utilisé pour mesurer la résolution de l' imprimante 3D de braise dans un plan horizontal.
Braise utilise une image numérique pour définir chaque couche de ses gravures. Ces images chacun ont une résolution de 1280 x 800 pixels et on projette une superficie d’environ 64 x 40 mm, telle que chaque pixel est nominalement un carré de 0,05 mm. La résolution maximale possible de la braise dans les dimensions X et Y est donc 10 lp / mm. (la résolution dans la dimension verticale de (Z) est déterminée par l’épaisseur de la couche, qui peut être aussi bas que 0. 01 mm, ce qui suggère une résolution verticale possible maximale de 50 lp/mm). À titre de comparaison, une imprimante 2D capable de 600 dpi (points par pouce) pouvait imprimer 300 paires de lignes par pouce, ou environ 12 lp/mm.
Si oui ou non cette résolution peut être réalisée dans les tirages réels dépend de nombreux facteurs, notamment la géométrie du modèle, la résine et les paramètres d’exposition. Il est également limité par le fait que le tableau de pixels carrés dans les images d’entrée sont filtrés et ré-échantillonné par le projecteur à l’intérieur de la braise, pour l’affichage sur son DMD qui utilise une matrice de pixels diamant (voir TI DLP® "Diamond" Pixel).
Il est à noter également que c’est juste un des nombreux moyens pour caractériser la résolution de la braise. Il peut être utile dans certaines applications où par exemple des détails fins en texte en relief sont important. Pour d’autres applications, le lissage des surfaces courbes, ou la possibilité de créer des petits trous ou des filaments, pourrait être plus important que la capacité de résoudre des lignes adjacentes. Andreas Bastian juge-t-elle utile dans l’impression 3D d’établir une distinction entre la résolution pour les fonctionnalités « positives » (p. ex. patrons, extrusions, toiles et crêtes) et des caractéristiques « négatives » (trous, fentes et cavités, par exemple). En effet, Ember tend à remplir les espaces négatifs, en agrandissant les caractéristiques positives environnantes, comme nous allons le voir ici.