Étape 5: Puissance de la batterie
Deux raisons, que je travaille sur le système de l’intrigante :
Le premier :
Il m’a frappé il y a quelque temps que les méthodes traditionnelles de raccordement d’électronique sont un grand obstacle à une plus large acceptation d’etextiles : pour les éducateurs, de fabricants, de masse pour les bricoleurs, pour les artistes et ainsi de suite.
Sur un circuit, vous pouvez router tous les fils avec soin afin qu’ils ne touchent pas. C’est plus facile à faire sur un disque dur, fixe, platine 2D où vous avez le luxe de routage fils sous et au-dessus de la platine.
Toutefois, dans le cas de la couture, le fil est cousu sur les côtés du tissu, pour rendre ce type de routage plus difficile ; C’est en 3D ; et toute la trame se déplace ; ainsi, il devient très vite un gâchis. Nous devons repenser comment électronique et tissu peut-être mieux coexister et je pense que simplifier et réduire le nombre de connexions est une bonne façon de commencer.
La seconde :
Artefacts programmables encore besoin d’un ordinateur relativement costaud (je ne parle pas de la nécessité pour les ports matériels, logiciels, clavier, etc et pas les spécifications de processeur). Si j’ai une chose portable et j’ai besoin de changer son comportement, la façon typique serait de s’asseoir, lancer un éditeur ou développement environnement, tapez, compiler, trouver un câble USB, télécharger.
Wearables donnent une formidable occasion de repenser cette même prémisse. Pourquoi ne pouvons nous programme directement à partir de nos téléphones par exemple ? Ce serait génial surtout pour un changement rapide. Pourrions nous télécharger un programme incorporé dans une peinture ? Si j’étais un conservateur de musée, pourrais je fais chemises allume mes visiteurs se comportent différemment en fonction de l’exposition ? Ce qui signifierait que ? Comment cela serait-il possible ?
Je pense que les boutons portables web programmables sont un bon - si minuscule - pas dans ce qui permet une approche plus terre à terre d’etextiles.