Eh bien, j’ai décidé d’aller un peu plus loin.
Tout d’abord, la science derrière la chose entière est celle du thermomètre mouillé. Vous savez : celui qui mesure le point de rosée ? L’essentiel est qu’air terrestre a certaine quantité d’humidité dedans et que vaporiser de l’eau (liquide) pour dissoudre dans l’air (gazeux) exige l’énergie qui provient de la chaleur présente dans l’air. Parce que la chaleur permet le transfert, un thermomètre avec une « mouillé » lira une température plus basse qu’une avec un thermomètre « sec ». Autrement dit, quelque chose qui est mouillé est toujours un peu plus frais que quelque chose qui est sec. Tout cela à cause de l’évaporation.
Deuxièmement, comment un convertir cela à quelque chose de concret ? Comme, par exemple, le problème toujours présent de conserver sa bière... euh... boisson fraîche par une chaude journée.
J’ai donc développé l’idée d’une boisson de terre cuite plus frais. Il fonctionne comme ceci : vous ajoutez de l’eau pour provoquer l’évaporation qui provoque le refroidissement qui garde votre boisson au frais. Même par une journée chaude. Et ce n’est pas seulement passif : en fait, il réduit la température d’une boisson chaude à quelque chose de plus frais.
Le seul hic est (que j’ai découvert) qu’il exige un point de rosée bas.
Mise à jour :
La glacière ne fonctionnait pas très bien dehors dans le désert. Les pots de fleurs utilisé avec que j’ai commencé eu très peu de porosité, vraisemblablement tous les pores avaient rempli de minéraux et de la saleté avec le temps. En outre, le sable n’était pas facile à utiliser, alors je recommande d’essayer les petits cailloux à la place. Vous pouvez même il remplir avec de la glace juste à la hauteur de la PAC de béton.