Étape 6: Epilogue
L’autre aspect que nous n’avons pas parlé ici est la consommation d’énergie. Il serait prudent de supposer que si vous générez un cellulaire tracker, vous voudrez mettre sur quelque chose qui se déplace, ce qui signifie il faudra écarter depuis les ports de sortie/usb puissance de notre monde. Cela signifie la puissance de la batterie, ce qui signifie mesurer la consommation d’énergie et en calculant la vie de la batterie, etc..
Stuff cellulaire a la réputation d’être assez avide de pouvoir. Adafruit dit que ce module peut tirer jusqu'à 2 ampères (!) bref salves. Cependant, la façon dont nous l’utilisons, il passe le plus clair de son pouvoir de temps éteint, consomme très peu.
J’ai mesuré la consommation d’énergie de la batterie pendant une utilisation normale.
- Allumé: ~ 25mA
- Requête get : Pics à 150-200 ma pendant de courtes durées
- Un cycle complet de demande d’emplacement et envoie une requête GET consomme ~ 7,47 joules
- AVG de 53,4 mA pendant 35 secondes
- Moteur éteint: ~ 150µA quiescentes consommation
Si nous utilisions une batterie d’une capacité de 1000 mAh, nous pouvions envoyer emplacements pour ~ 10 jours à intervalles de 15 minutes avant que la batterie a flanché. (en théorie et sans tenir compte de la consommation électrique de l’Arduino)
Note:
J’ai remarqué un comportement étrange lorsque la batterie est connectée à la FONA et l’Arduino a été débranché. Il y avait entre 20-100mA, sortant de la batterie sans raison. Je ne sais pas pourquoi il s’agit, mais je serais prudent de laisser les piles branchés à la FONA sans contrôle d’un microcontrôleur.