Textes et photos de Stephen Oram
Extrait de l’Australian bois Review, numéro 56, septembre 2007
Quand on est commandé de faire une pièce il n’y a généralement un délai arbitraire fixé dans le cadre de l’affaire — Noël, les anniversaires, les locaux commerciaux d’ouverture... Mais récemment je suis tombé à proximité d’une échéance réelle quand on m’a demandé de faire un cercueil pour un ami qui était dans les derniers stades de la mort.
Jude était une personne particulièrement vivace et grégaire avec des intérêts très vastes et un vif engagement dans la communauté locale. Quand elle est allée à l’hôpital pour la dernière fois, un « Comité de soignants » informel a été formé aux visiteurs d’alignement et répondre aux besoins de sortie de l’hôpital de Jude (occuper sa maison et les animaux et ainsi de suite). C’est ce groupe qui m’a demandé d’envisager de faire de son cercueil. Il s’agissait d’une demande qui m’a fait sentir la fois honoré et humilié et un peu trepidatious. J’ai informé le « Comité des proches aidants » que j’ai s’atteler à la tâche et a commencé le processus de conception. Jude est décédé trois jours plus tard un dimanche soir. L’enterrement a été fixée pour ce qui suit vendredi, me donnant quatre jours pour faire le cercueil. Mes souvenirs de ces quatre jours sont comme suit.
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