Étape 4: Montage de la charnière
À l’aide de la colle j’ai assemblé les deux parties de base. Il n’est pas nécessaire d’insérer la tige, comme cela peut être cassé et sorti plus tard.
Lorsque séché j’ai attaché la tige et testé les différents modèles.
Conclusion
Mon expérience est que hauteur ø3 aimant 2 mm a donné le résultat plus satisfaisant, il avait le meilleur équilibre entre la force de retenue et d’efforts à démonter. C’est très dépendante de la demande de la charnière, cependant. Ils ont tous fonctionné bien, enclenchant en place et en tournant autour de l’axe. La plus petite était un peu faible, il faut seulement une petite force de démonter. Il est cependant très faible. Dans les photos du modèle OS de doigt, j’ai utilisé les aimants plus petits de la phalange distale, créant une charnière amovible de seulement quelques millimètres de largeur.
Mon observation personnelle
À l’aide de charnières magnétiques est une grande technologie pour créer des charnières très petits, souples. Surtout ceux qui utilisent les aimants de la technologie d’impression 3D peut s’avérer pour être une technologie simple pour créer des charnières. Des forces considérables sur la charnière provoquera simplement la charnière en train de s’effondrer. Après cela, la charnière se clipse retour ensemble, sans aucun dommage qui en résulte. Application en robotique qui possède une interface avec les humains pourrait être intéressante. Le robot peut tout simplement s’effondrer si elle exerce une force trop importante. Un robot cassé (mais facilement ré-assemblé) au lieu d’un doigt cassé est toujours un fruit préféré.
Merci pour la lecture ! :)