Il s’agit d’un petit chargeur automatique que j’ai fait qui détient environ 4 dixièmes d’un litre de nourriture pour poissons et a fonctionné pendant quelques années. J’ai construit ce un plus pour la nouvelle serre qui détient 2,8 litres.
L’alimentation est contrôlée par un habitué auger bois de 3/4 pouce bit qui s’insère bien dans un logement qui est un morceau de tuyau 3/4 po noir. Il est entraîné par un moto-réducteur 12 volts DC que j’ai reçu d’un magasin de surplus. C’est un grand moteur car il a une fente au lieu d’un essieu moteur, il est donc facile de faire la tarière peu s’adapter dedans.
Tout d’abord, j’ai coupé la mèche de la fraise à la bonne longueur et moudre vers le bas de l’arbre afin qu’il tienne dans la fente du motoréducteur. J’ai ensuite découpé le centre du tuyau noir. C’est où la trémie d’alimentation se connectera au carter de la fraise. Un petit morceau de barre plate est utilisé comme un support de montage qui lui permettra d’être monté sur le réservoir et fixer le moteur à l’arbre.
Après avoir soigneusement les morceaux, j’ai virer soudure la Carter à l’étrier, de la fraise puis enlever le moteur et finition soudant les morceaux ensemble.
La goulotte est issue d’un vieux capot de l’ordinateur. J’ai fait un gabarit de découpe pour les différentes pièces et adhésif pulvérisé sur le couvercle pour maintenir les modèles pendant la coupe.
J’ai construit dans des onglets sur les parois de la trémie, donc je pouvais souder les morceaux ensemble. C’est le point dans le temps où j’ai que j’ai possédé un saut de métal, mais a dû improviser avec mon vice et marteau. Heureusement, les virages n’étaient pas trop complexes.
Après que tous les morceaux ont été tordues en forme, j’ai la terre au large de la peinture donc les coutures peuvent être soudés ensemble. J’ai aussi percé les trous dans les murs où les onglets relierait. Il s’agit donc je pouvais souder une amure dans le trou pour relier les feuilles minces. Il est similaire à riveter les morceaux ensemble.
Lorsque la trémie est soudée ensemble, j’ai meuler les pointes de soudage afin qu’ils soient alignés avec le métal en feuille. Le dernier morceau de soudage est de fixer l’ensemble de la fraise à la trémie.
J’ai la chance d’avoir accès à une belle armoire de sablage. Cela rapidement et facilement supprime toute peinture et la rouille et rend une surface vraiment propre à peindre. Après quelques couches de peinture, il semble presque aussi beau que le travail fait par un pro... presque.
J’ai fait un commutateur de niveau qui allume une LED pour me faire savoir quand l’aliment devient faible dans la trémie. J’ai pris une brochette de bambou et chaud-collé à un micro interrupteur. Le levier nouvellement prolongé atteint dans la trémie et a un flotteur qui pend de lui. Lorsque le niveau descend au plus bas, le flotteur sera tirez sur le levier et la lumière de la LED. J’ai aussi ajouté un interrupteur momentané dans la boîte qui me permet de tourner sur la vis sans fin dans le cas où j’ai envie de donner le poisson une collation de bonus.
J’ai monté la boîte de commutateur de niveau de la trémie et connecté les câbles du moteur par le biais de la boîte. Puis la nouvelle mangeoire a été boulonnée à la paroi de la cuve de stock. Pour l’instant, j’ai branché le chargeur à l’un de nos minuteries d’indice IX-180. Il est programmé pour tourner le foret de tarière pendant 20 secondes, quatre fois par jour. L’extra entrée du minuteur est utilisée pour surveiller la température de l’eau dans le réservoir. Finalement, le chargeur, les cheminées et autres contrôles seront connectés à un système d’automatisation de maître.
Voici le flotteur qui se trouve sur le dessus de la nourriture, lorsqu’il devient assez faible, il a juste tire vers le bas sur le levier et la LED s’allume et il s’agit de la mangeoire en opération. Merci de regarder ! Assurez-vous que vous êtes abonné à cette chaîne pour plus de superbes vidéos !