Étape 3: schématique
Voici le schéma que j’ai faite à l’aide de Fritzing. J’ai l’inclure ici juste par souci d’exhaustivité.
J1 est le circuit de la souricière - le microcontrôleur vérifiera ce circuit toutes les 10 minutes, ou alors pour voir s’il est ouvert (piège à balancier) ou fermé (piège encore ensemble).
J2 est le circuit d’émetteur de sonnette de porte - si le microcontrôleur détecte un piège suspendue il commutera sur ce circuit pour environ 250 millisecondes à sonner la sonnette.
Q1 est un transistor de npn 2n2222 - cela agit comme un interrupteur pour allumer le circuit émetteur de sonnette de porte si un piège a jailli. Notez que le pôle négatif de l’émetteur de sonnette de 12V est connecté à la masse du circuit microcontrôleur 3V. Mais ne vous inquiétez pas, votre ATtiny85 ne vois pas que 12V.
Q2 est un transistor de npn 2n2222 - agit comme un interrupteur à activer ou activer, le circuit de la souricière. Le microcontrôleur permettra seulement le circuit pour une fraction de seconde que toutes les 10 minutes. Il s’agit d’une pile, mesure d’économie.
R1 est une résistance de menu déroulant qui fournit une valeur faible (c'est-à-dire négative, ou au sol) à la broche 6 du microcontrôleur. Un signal positif du circuit souricière aura une résistance beaucoup plus faible et aurait donc des marais le faible faible de R1. Cependant si le circuit de la souricière est ouvert, c'est-à-dire aucun signal, puis le microcontrôleur se lirait la broche aussi bas. Laissant les broches non connectés à haute (positif), ni faible (sol) confond la ATtiny85 !