Pour ceux d'entre vous qui ont la chance de ne jamais avoir à endurer ce qu’il est un état d’esprit ennuyeux dans lequel vous ne pensez à rien d’écrire, ai du mal à commencer une nouvelle histoire ou la très pensée d’écriture vous donne un mal de tête. Dans mes dernières années trois de l’écriture, j’ai enduré ce dizaines de fois, que ce soit quelques jours ou mois. C’est un ennuyeux mais inévitable au premier degré, mais il existe des façons de le secouer.
(hélas, mon dessin encore n’a pas amélioré...)